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Ville de Roscoff (Rosco en breton) 

Un peu d'histoire

Au début ce n'était qu'un  petit village de pêcheurs cotiers

Vers 1400, il prend son emplacement actuel se construit alors un vrai port de transit et de relâche.

Les Roscovites s'enrichissent et construisent.

Vers 1500, les guerres freinent le commerce, ils deviennent donc corsaires pour maintenir

leur fortune.

Après 1750 Roscoff devient un port de contrebande, la moitié de la population est tout de même paysanne lorsque survient la révolution.

En 1790 Roscoff se détache de Saint-Pol-de-Léon et entreprend d'élire sa première municipalité.

A la fin du XIXème siècle, l'arrivée du chemin de fer et des premiers touristes coïncide avec les débuts de la vocation santé de Roscoff.

 

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Le port de plaisance

Dans le bassin sud

 

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Le port de Pêche

Le port est essentiellement crabier. Mais il se diversifie vers la pêche aux poissons

( lotte,cabillaud,merlan,encornet,et turbot )

Une criée moderne et de nombreux viviers

37 bateaux y accostent

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 La visite de la vieille ville nous fait découvrir de très belles maisons d'armateur en granit

 

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L'église Notre Dame de Croaz-Batz

Au centre de la cité l'église dresse dans un enclos un clocher renaissance (1585) où se superpose balustrade, dômes et lanternes couronnant même les tourelles d'escalier.

Fondée en 1522 par les marchands  du bourg, elle fut achevée en 1545.

L'édifice n'est consacré qu'en 1590 par Mgr de Neufville.

 

 

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Emblèmes de son commerce maritime

 

Caravelle de la façade du chevet de l'église

mur de la sacristie.

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Coté méridional on aperçoit une niche vide.

A droite un trois mâts voyageant vers l'ouest et décoré à sa proue d'une grosse tête d'animal.

A gauche une banderole .

 

 

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Sur le fronton du porche figure une caravelle sculptée.

Le vaisseau cingle sous l'effort de sa misaine tendue.

 

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Ossuaire à double rangs de balustres XVIIè siècle.

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Le cadran solaire

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Chapelle des agonisants (1701)

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Confessionnal.

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Le choeur

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Lutin du XVIIIè siècle

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La chaire  (1711)

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Fond Baptismaux

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La chapelle Sainte barbe

Edifiée en 1619 Sainte barbe n'est pas bretonne mais hollandaise

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A quelques encablures de Roscoff

L'île de Batz

 

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La presqu'île de Crozon est la pointe centrale du finistère, dans la mer d'iroise.

Bordée au nord par la rade de Brest et au sud par la baie de Douarnenez. 

Un endroit merveilleux pour les amoureux de la nature.

 

 

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On admire la beauté de cette eau et presqu'île.

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Mer d'huile et soleil cuisant, c'est aussi cela la bretagne!

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Le tas de pois

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Escalade des rochers et kayaks de mer.

 

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Camaret

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Le goulet vue de la pointe des espagnols.

 

 

 

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Matinée pluvieuse sur Brest une bonne raison pour visiter le musée.

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Le sous-marin de poche Seehun

A la fin de la seconde guerre mondiale, La Marine Nationale récupère quatre de ces sous-marin pour former une flotille.

Ils resteront en servicejusqu'en 1956.

A la dissolution de cette flottille, deux exemplaires seront mis à disposition du service de presse-information de la Marine Nationale.

Le S622 après restauration par les ateliers de Brest en 1980 sera exposé au musée de Brest.

 

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Le Penfeld et le pont de Recouvrance.

Au loin le pylone du téléphérique

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L'appareil à mâter les bâtiments.

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 Bouton de canon

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Après la démolisation du corps des galères en 1748.

La Marine décide d'employer les condamnés à d'autres tâches.

Ainsi les bagnes dans tous les ports militaires voient le jour.

Toulon, Rochefort et Brest..

A brets il fut construit sur la rive droite de la Penfeld.

Mesurant 240 mètres de long pour 2000 forçats.

Il était surnommé "Le Versailles des galères"

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Objets confectionnés par les bagnards

Blagues à tabac etc.

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Lougre corsaire

Le Coureur

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Coiffure du XVIII ème siècle

Mme de Campan disait: Par l'échafaudage des gazes, des fleurs, des plumes, que les femmes ne trouvaient plus de voilures  assez

élevées pour s'y placer et qu'on leur voyait souvent pencher la tête à la portière.

D'autres prirent le parti de s'agenouiller pour ménager d'une manièreencore plus sûre le ridicule édifice

dont elles étaient surchargées

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Louis-René-Madeleine Le Vassor de la Touchen comte de Tréville.

Né à Rochefort (1745 - 1804)

Officier de la Marine Française, il se distingue lors de la guerre d'indépendance de Etats-Unis.

Contre Amiral en 1792 

Vice amiral en 1805

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Le port de Brest

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Coq Sculpté provenant de la

Consulaire

La consulaire.

 

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Salle des sculptures.

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Gisant de Gilles de Texue 1478-1514

Ecuyer de la reine Anne de Bretagne, fut choisi par celle-ci pour devenir

Gouverneur du Château de Brest.

Il le resta jusqu'à sa mort.

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Nombreuses sculptures de figures de proue et de châteaux de vaisseaux

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Sculpure d'esclaves Maures

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Bustes

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Yves Etienne Colbert

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Tableau machine d'un T49

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Je retrouve ma jeunesse en voyant cette cafétaria

Plateau - quart 

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Les bannettes, le seul endroit où le marin se sent chez lui.

Celle du haut n'était pas la plus convoitée, souvent on ne pouvait même pas s'y assoir.

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Le Cuirassé Richelieu.

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Le soleil est revenu sur Brest

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La préfécture maritime.

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Vers la rade

 

 

 

 

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James de Kerjégu

Riche politicien, d'une vieille famille bretonne, En 1893 James de Kerjégu fait appel à l'architecte

Walter-André Destailleur pour reconstruire le château de son domaine de Trévarez, il le veut doté des

équipements les plus novateurs de l'époque, chauffage central, ascenseur, eau chaude etc..

La construction durera 14 ans

A l'entrée du parc, deux maisons de fonction seront ajoutées, Maison du jardinier, ainsi que de vastes serres , dotées de chauffage à eau modulable. Et des écuries dotées d'une grande verrière et d'une cour pavée.

Il y aura jusqu'à 80 domestiques pour l'entretenir.

Lors de la seconde guerre mondiale le château est réquisitionné par l'occupant.

Bombardé par la RAF en juillet 1944, alors qu'il était inoccupé. Le château subit de très gros dégâts.

De 1946 à 1968 le château est abandonné, le parc est envahi par la végétation et la bâtiment pillé.

Mis en vente en 1968 par les derniers héritiers, il est racheté par le conseil général du finistère.

 

Aujourd'hui, seul le rez-de-chaussée et le premier étage sont visitables, mais

nous donne une très bonne idée de l'opulence et de la beauté des lieux.

 

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Le hall d'entrée

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Bibliothèque

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Salle à manger

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Salle de bain et eau courante et chaude à tous les étages.

 

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Toilette

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Chauffage central

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Petites piscines individuelles pour les invités

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Les écuries

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La maison du jardinier et les serres

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Le parc de 85 hectares.

En février 2015, La société internationale du Camellia lui a décerné le label

"Jardin d'excellence"

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Vue du château sur la vallée

 

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Commune située en Seine maritime 

Longtemps capitale des terres-neuvas français pour la pêche à la morue.

Maintenant le port vie maintenant, essentiellement de l'importation de bois.

 

Le port 

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Clichés pris du haut des falaises.

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Le palais Bénédictine

 

Ce palais fut construit par Alexandre Prosper le Grand, négociant en vin

d'après le plan de l'architecte Camille Albert.

Alexandre Le Grand fit fortune en inventant  et commercialisant la liqueur Bénédictine.

. Ce superbe bâtiment fut inauguré en 1888, mais dévasté en 1892 par un incendie, il

fut alors reconstruit mêlant les styles néo-gothique et néo-renaissance.

 

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La distillerie est intallée dans ce magnifique palais

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Les origines de la liqueur remontent à 1510.

Dom Bernardo Vincelli, moine Bénédictin mis au point cet elixir, après distillation d'un mélange de plantes

locales et d'épices orientales.

Alexandre le grand s'en inspirera pour élaborer une liqueur qu'il baptisera "Bénédictine"

 

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 Alexandre -Prosper-Le Grand

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Quelques belles demeures près du palais.

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Magnifique plage de galets

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 Des pontons pour se promener dans le port

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