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Poser au pied du port de Ronceveaux, c'est la dernière étape française des pélerins de Compostelle.

Cette ancienne capitale de Basse Navarre est une cité très agréable à visiter.

Etant toute proche de la montagne, elle est très bien située pour effectuer des randonnées.

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La Nive de Béhérobie

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Rue d'Espagne.

Elle remonte vers la porte d'Espagne.

Les pélerins l'empruntent pour quitter la ville en direction de Ronceveaux.

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La porte Notre Dame

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Le Vieux Pont

L'église  Notre Dame du-Bout-du-Pont

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La Citadelle bâtie en 1627, puis consolidée par Vauban.

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Marché le Lundi, l'occasion de découvrir de nombreuses spécialités.

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La montagne entoure cette jolie cité.

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Après le déluge, la Nive à pris une couleur orangée.

 

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Rue de la Citadelle.

Sous la pluie

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Les pavés qui sont volontairement inclinés pour servir d'appui aux sabots

des chevaux arpentant cette pente raide et sinueuse.

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Porte St Jacques 

Classée au patrimoine Mondial de l'Humanité par l'UNESCO

en 1998.

Elle est l'entrée historique des pélerins en route vers Compostelle.

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Les pélerins en marche vers Roncevaux.

 

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Le vignoble D'Irouléguy

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Avec ce nom on pourrait se croire en Amérique centrale, mais nous sommes bien en France. 

Ces gorges sont situées au coeur des montagnes basque .

Un des sites les plus prestigieux d'Europe, une nature vierge.

Leur longueur atteint 2000 mètres , leur profondeur varie entre 30 mètres et 350 mètres et par certains endroits, comme le "Grand étroit", quelques mètres à peine séparent les deux versants de la faille.

Une bien belle balade dans se site bien aménagé, mais mieux vaut avoir de bonne chaussures

car le sol est glissant.

 

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L'entrée des gorges.

 

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Des falaises de nombreuses petites chutes

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Des passerelles sont fixées le long de la roche.

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Les branches des arbres couvertent d'une mousse épaisse.

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Grondement assourdissant du torrent

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La fée du torrent serait-elle de pierre.

 

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Arrivée à la chute.

Haute de 20 mètres formée par une résurgence.

Son origine reste à ce jour toujours inconnue. 

 

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L'arrivée se fait dans une grotte, maintenant il faut prendre le chemin du retour.

Pour ne pas être mouiller par la cascade, prendre le passage derrière celle-ci.

Si vous allez dans la région n'oubliez pas de faire cette visite très dépaysante et magnifique.

 

 

 

 

 

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 Tout près de Jean de Luz, puisque seul le pont Charles de Gaulle  sépare les deux villes.

La ville de Ciboure, Tout aussi jolie que sa voisine, elle partage le même port.

 

 

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Elle fut édifiée à partir de 1555 et son originalité réside en son cloché octognonal, unique en pays basque.

Elle possède une porte réservée aux cagots, personnages habitants plus particulièrement à Ciboure et dénommés "Kaskarots" 

(Kaskar: de peu de valeur)

Au moyen âge, ils étaient exclus de la socièté car soupçonnés de transmettre la lèpre.

Ils étaient tenus à l'extérieur des villages et devaient se marier entre eux, il leur était interdit de boire l'eau des fontaines ou de toucher les aliments.

C'était "les Intouchables "de cette région.

Ils pratiquaient des métiers ayant relation avec bois, car c'était la seule matière réputée pour ne pas transmettre la lèpre.

 

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Petit marché.

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SOCOA

Le petit port de Socoa  ( le coin en basque) fut aménagé en 1624.

Pour le protéger, il fallut construire un fort militaire.

En 1627 les travaux d'une construction en pierre et d'une chapelle débutent sur un îlot rocheux.

Le Maréchal Vauban lors de son passage dans la région préconise d'importante modifications. L'ingénieur Ferry met en application les plans de Vauban. Il y a adjoint des casernements.

Le Fort nouveau eu un rôle militaire pendant la révolution et l'empire et aussi pendant les deux premières guerres mondiales.

Aujourd'hui, il est devenu un joli petit coin de promenande, des restaurants tout au long du port invitent à y passer un petit moment.

La plage est aussi tout près et la mer y est plus calme par rapport à la plage de Saint Jean de Luz

 

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Les traînières aux couleurs vivent  égaient le port

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Un peu plus loin en allant vers Hendaye découvrez la corniche Basque.

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Saint Jean de Luz appelé au XVII " Nid de vipères" par les anglais, par ses nombreux corsaires, Coursic était un des plus renommé.

Elle fut aussi nommé  "Cité des Corsaires".

Cette ville tournée vers la mer , fut propère dès le XIV siècle grâce à la chasse à la baleine, puis la pêche à la morue sur les bancs de Terre-Neuve.

Dans les années 1850 elles devient une station balnéaire, visible aujourd'hui par ses jolies villas sur le front de mer.

Une ville charmante avec ses maisons basque, ses villas , son port, sa plage et son histoire.

 

 

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Joli port de pêche encore très actif

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Lohobiague-enea

Maison érigée entre 1643 et 1645 par un riche armateur Johanis DE LOHOBIAGUE sur une terrain marécageux en bordure du port.

Lors du mariage de Louis XIV cette maison lui servira de résidence.

Le roi y logera au 2ème étage durant son séjour du 8 mai au 15 juin.

Cette maison appartient toujours à la même famille

 

 

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L'église Saint-Jean Baptiste

C'est dans cette église que fut célébrée la cérémonie de mariage de Louis XIV et de

l'infante d'Espagne Marie Thérèse.

 

 

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Belle plage et front de mer

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Villas balnéaires avec passerelles pour se rendre à la plage

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Réalisé en 1925 par l'architecte André Pavlovsky issue d'une famille Russe

Cet architecte a réalisé de nombreuses Villa pour les gens aisés dont René et Simone Lacoste, la villa Lacostenia.

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Ici une très belle promenade dans le jardin de la pointe Sainte barbe

nous fait découvrir tout le littoral de cette côte sauvage.

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Ici l'on peut passer des vacances magnifiques, la mer, la motagne toute proche, l'Espagne à quelques kilomètres.

Il y fait très bon vivre.

 

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Ce château séparait autrefois le duché de Bretagne du royaume de France.

Ce château est depuis plus de 1000 ans la résidence de la famille de Goulaine.

Au XIIème siècle, lorsque le duché de Bretagne devint indépendant, le premier Goulaine, "Jean" alors capitaine de la ville  de Nantes, a fortifié la propriété pour se protéger des attaques des normands.

Les Goulaines étaient une famille noble ancienne, déjà citée lors de VII ème croisade (1248).

La famille de Goulaine resta propriétaire du domaine sans interruption jusqu'en 1788, date à laquelle la propriété fut vendue  à un banquier Hollandais. Cela les aida à empêcher la destruction du château lors de la révolution française. En 1858, un membre de la famille Goulaine racheta le domaine, qui appartient encore de nos jours à cette famille.

 

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La construction du château s'achève au XVIIème siècle, le corps de logis date de foin Du XV ème, les parties les plus anciennes datent du moyen-âge.

Cet un chêteau de la Loire, construit en pierrre de tuffeau il est le témoignage de la douceur de voivre de la Vallée des Rois.

Le marais de Goulaine est un endroit charmand à découvrir absolument.

Voir mes photographies sur ce site.

http://images-nature.eklablog.com/marais-c465121

 

 

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La cour intérieure

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La serre aux papillons qui en cette année a disparu

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Une visite très intéressante.

L'histoire de cette famille et de son château.

 

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Le parc

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Sculpture de l'artiste plasticien

Emmanuel Chapalain

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Peu de salles mais toutes dans un très bien restauré.

 

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Superbes plafonds à caissons.

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La visite des anciennes écuries où l'histoire de la biscuiterie LU

y est si bien raconté.

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