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Josselin fut fondé au XI ème siècle par le Vicomte du Porhoët.

Une petite ville à découvrir avec son imposant château des Ducs de Rohan dominant l'oust.

Ses maisons à pans de bois et sa magnifique basilique Notre Dame des Ronciers.

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Le château des ducs de Rohan.

En 1370, Olivier de Clisson devient propriétaire de Josselin.

Nommé connétable de France à la mort de Bertrand Dugesclin en 1380.

A partir du château existant, il fait édifier un forteresse, avec un donjon et neufs tours,

dont quatre sont encore visibles à ce jour.

Clisson meurt en 1407 après une brillante carrière militaire et politique.

Après sa mort le château devient propriété d'Alain VIII de Rohan, qui a épousé Béatrice , fille d'Olivier de Clisson.

 

 

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Chapelle de la congrégation

Construite en 1702 par la congrégation de la mission. (Congrégation de la mission,

fondée en 1625 par Saint Vincent de Paul, est composée de membres, frères ou prêtres, appelés Lazaristes).

A cette époque l'évêque de St Malo est en conflit avec la congrégation. Il n'approuvait pas que cette chapelle ne soit pas rattachée à la paroisse de Josselin , aussi refusa t-il de la consacrer.

En 1730 la communauté de la ville voulu l'acheter pour en faire la Maison de Ville (Mairie)

le projet n'aboutit pas.

Désaffectée à la révolution, vendue comme bien national, elle servira de granier à grain jusqu'en 1805.

Pendant la seconde guerre mondiale, elle servira de salle de classe.

Aujourd'hui c'est une salle d'exposition.

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Joli village aux maisons à pans de bois

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Basilique Notre Dame des Ronciers

Le culte dédié à Notre Dame des Ronciers.

Il remonte au haut moyen âge vers 808.

Il repose sur une tradition écrite pour la première fois

par un carme du Prieuré de Josselin, le père Isaac de Jésus Maria,

dans son histoire du pélerinage publiée en 1666.

Longtemps avant que la ville de  Josselin fut bastie comme la supérieure du Comté de Porhoët...,

il arriva qu'un laboureur cultivant la terre (où est implantée maintenant l'église de Notre-Dame), et coupant

des ronces avec un faucillon, fit l'heureuse rencontre d'une "image" de Notre Dame dans un

lieu rempli de ronces. Le laboureur plaça la statue chez lui, mais elle revint d'elle même au lieu de sa découverte.

L'évènement s'étant produit à plusieurs reprises, l'évêque d'Aleth (St Malo-de-la-mer) autorise qu'on lui rende un culte, La fille du laboureur, aveugle née, retrouva a vue. La nouvelle se répandit, et très vite les pélerins accoururent  au sanctuaire.

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Fondée au XI ème siècle. la basilique est un élément architectural incontournable.

Plusieurs fois remaniée, elle reste un exemple du style gothique flamboyant

de la fin du XVème siècle.

Reste quelques vestiges du sanctuaire roman primitif, dans le carré du transept.

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orgues

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Plafond en bois

 

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Cette chaire à prêcher a été réalisé par le ferronnier Eustache Roussin en 1775

Elle est fer forgé et les ornementations sont en fer forgé repoussé

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Magnifiques vitraux

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Le tombeau a été commandé au début du XVème siècle par Alain VIII de Rohan,

gendre d'Olivier de Clisson.

La table de marbre noir, poli portant les gisants en marbre blanc, grandeur nature,

est le dessus du monument original saccagé à la révolution.

 

 

 

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La tête ressemble à son masque mortuaire

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Ses pieds étaient appuyés à des lions, volés en 1952

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L'historien Emile Gilles décrit ainsi les gisants :

Le connétable est représenté la tête nue et son armure rappelle celles que portent les ducs Jean II et Jean III que l'on voit dans l'église de plouêrmel.

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La coiffure carrée de Marguerite de Rohan, nommée escoffion, sa longue robe flottante ou cotte-hardie et son surcot fourré d'hermines fournissent le modèle complet du costume des dames de la plus haute condition , à le fin du XIV ème siècle.

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Les pieds de marguerite de Rohan, s'appuient sur une levrettte entourée des ses petits, symbole de fidélité

 

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Olivier V et Marguerite de Rohan

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