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La ville de vannes fut fondée par les romains après leur victoire sur les Vénètes,

en 56 avant Jésus Christ. Les armées de Jules César victorieuses, conquirent

toute l'Armorique.

Darioritum (premier nom de la ville) se développe sur une colline,

aujourd'hui le quartier Saint Patern.

Dès le IIIème siècle, un castrum (village fortifié construit en hauteur) est construit afin de protéger les habitants des attaques barbares.

Après la chute de l'empire romain en 409, la cité fit partie de la

confédération Armoricaine, et abandonna son nom romain pour

reprendre son nom originel "Venetis".

La ville antique est abandonné et devient un faubourg.

la  ville médiévale se développe peu à peu à l'intérieur

des fortifications.

1341 à 1364 les guerres de succession, ruine l'économie du duché de Bretagne.

Venete est assiégé plusieurs fois. Jean IV victorieux fait

construire le château de l'Hermine et agrandit les fortifications.

A la fin du XVIIème siècle on construit de nombreux hôtels particulier.

Aujourd'hui cette grande ville a su garder son patrimoine

je vous invite à découvrir cette ville.

à l'intérieur

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Place Maurice Marchais

La place de l'hôtel de ville

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Entrons dans la ville fortifiée.

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Nous sommes de suite dans l'ambiance médiévale

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La place Henri IV

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Il faut lever les yeux, car de nombreuses enseignes ornent

les magasins.

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La cathédrale Saint Pierre.

Je n'ai pas fait de photo à l'intérieur, car il y avait une messe

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Cette enseigne, ne doit pas être d'époque!

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Nous descendons vers le port,

par la porte Saint Vincent.

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Le port

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Le couvent des carmes 1737

La fondation du couvent des carmes déchaussées est situé dans le

quartier du port.

Six religieux parisiens viennent s'installer à vannes en 1627.

La construction d'une chapelle débute le 3 mai 1629, à la suite

de ce chantier commence l'édification du couvent.

En 1791 les Carmes déchaussées sont expulsées et leurs biens confisqués.

En 1802 l'evêque monseigneur Du Pancaront se fait accorder l'ensemble.

Le 9 décembre 1905 la loi sur la séparation des églises et de l'état,

fait que la ville de Vannes en reprend la totale jouissance.

Tour à tour il y aura: Un musée, un cours d'enseignement général,

puis l'école de musique en 1979.

La chapelle des Carmes sert désormais d'auditorium à l'école de musique.

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Bastion de la Garenne

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Un petit tour à l'extérieur des remparts.

Dans un très beau jardin, trône  le château de l'hermine.

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Porte de la poterne

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Les lavoirs

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A l'abri des rempart, la cathédrale

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Tour du Connétable

C'est la plus haute tour de l'enceinte, c'est à la fois une

tour de défense et une tour résidentielle.

Son nom lui vient du Connétable Arthur de Richemont qui fut duc de

Bretagne  de 1457 à 1458.

Tout le long des courtines, la partie hautes des murs est aménagée

avec des machicoulis.

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Tour de la poudrière.

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Nous nous dirigeons vers le quartier Saint Patern,

le plus ancien de la ville.

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Dominant le quartier l'église porte le nom du premier

évêque de Vannes. Saint Patern qui vécût au Vème siècle.

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Et voilà, la visite est terminée, bien que certainement  incomplète

Une ville chargée d'histoire et qui a su garder son patrimoine.

à suivre....

 

 

 

 

 

Historique: Des Phéaciens aux arabes, toutes les civilisations andalouses utilisèrent le mouillage bien protégé de Malaga.

Son importance économique fut grande pour le dernier royaume maure d'andalousie, celui des Nasrides de Grenade, dont elle était le principal débouché maritime.

Conquise par les chrétiens deux ans après la prise de Ronda, elle amorça un déclin qui fut interrompu seulement au 19 ème siècle par une brève période de prospérité.

De riches familles du nord de l'espagne investirent alors dans les manufactures de textiles, les raffineries de canne à sucre et le dévelopementdu vignoble local.

Dans les années 1960 le boom touristique de la Costa del Sol la tirèrent à nouveau de sa léthargie .

Malaga est une grande ville au développement urbain un peu anarchique, mais, de nombreux monuments historiques sont à découvrir.

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Cathédrale de l'Incarnation

 construite entre 1528 et 1782

La tour sud restée inachevée donne un aspect déséquilibré à la façade

elle est affectueusement surnommée par "la manquita" (la manchotte) par les habitants de malaga.

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Coincée entre les immeubles, une vue général se fait en montant au château de Gibralfaro

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Médaillon central de l'entrée principale

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A l'intérieur, tout est grandiose, portes, plafond, orgue ,

mais mieux qu'un long discours, voici quelques images.

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détail d'une rosace du plafond

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Orgue construit par Julien de la Orden

au son paraît-il magnifique.

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De nombreux autels, plus dorés et sculptés les uns que les autres.

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Le rétable aux innombrables statues.

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une des monumentales portes d'entrée

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Les chairs

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Le coeur de l'église

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(Les images sont un peu bruitées, car le flash n'étant pas autorisé, il m'a fallu déclenché à 3200iso)

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La porte de la sacristie

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Après une bonne heure dans cette belle cathédrale,

nous retrouvons les rues de la ville, bien humide tout de même.

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Quelques clichés sur les monuments que je rencontre

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Direction le château de Gibralfaro, situé sur une des hauteurs de la ville

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L'hôtel de ville et le port

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On surplombe une belle place en étoile

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Vue sur un superbe panoramique de la ville.

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Après avoir profité de ces belles vues sur la ville

nous prenons le chemin du retour.

par le jardin el parque, une des plus grande enclave tropicale

et subtropicale d'europe avec environ 160 espèces différentes

d'arbres et arbustes.

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Il ne fait pas une chaleur à s'effondrer, mais,

les pigeons prennent un petit bain.

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Encore un de ces heurtoirs que j'affectionne tout particulièrement.

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Nous repassons près de la cathédrale.

sur une petite place pleine de fraicheur.

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D'un style beaucoup plus moderne,

cette sculpture qui sur des angles différents

permet de découvrir plusieurs visages.

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Une des nombreuses rues commerçantes.

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Nombreuses venelles, où il fait bon se perdre.

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Direction la gare pour prendre le train qui nous ramenera à Torrémolinos.

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C'est tout d'abord, un site spectaculaire, placé sur une plateforme rocheuse, en pleine montagne, c'est une des villes les plus ancienne d'Espagne.

D'origine préhistorique, elle était déjà à l'époque romaine un important centre commercial.

Pendant l'occupation musulmane de la péninsule, elle garda son hégémonie en devenant la capitale d'un royaume arabe.

Elle fut conquit par les rois catholiques en 1485 et à partir de ce moment, sa physionomie arabe sera transformée avec de nombreux couvents, églises et palais.

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Garé à l'entrée de la ville, en suivant les remparts,

nous découvrons la vallée environnante.

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Les remparts ceinturant la ville.

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La ville blanche, malheureusement comme vous le voyez,

le soleil n'était pas  vraiment au rendez-vous.

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La montagne entoure la ville

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De superbes couleurs

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Le pont arabe qui enjambe la gorge de taja creusé par le Guadalevin,

séparant la ville en deux

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Les maisons avec jardins en bord de falaise.

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Les maisons avec jardins en bord de falaise.

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Maisons aux toits de tuiles

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Les piliers du temple de la vierge des douleurs

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Iglesia Santa Cecilia

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Vieux couvent des trinitaines Déchaussées.

 

Santa Cecilia construite au milieu du XVIè siècle est unique à Ronda pour avoir une entrée très ornée baroque avec des colonnes toscanes cadrage jumelé à la fois les portes principales, et la fenêtre supérieure, qui est lui-même couronné par une croix papale. À gauche de l'entrée principale il y a une autre entrée plus petite, avec un petit balcon qui peut être utilisé par l'évêque à l'adresse de la congrégation.
Les église et chapelles espagnole sont très belles mais tout de même un peu ostentatoire par leurs dorures.

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La place Sorocco

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Eglise de notre Dame de l'Aide

Eglise récente de 1956

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Cheval de picadors

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Cayétano Ordonez 1904 - 1961

Son surnom "El Nino de La Palma" vient du nom du magasin de chaussures

"La Palma" que tenait ses parents.

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Antonio Ordonez

Il était le troisième des cinq enfants du matador

Cayetano Ordóñez «El Nino de La Palma ». Plusieurs d'entre eux se sont lancés dans la carrière tauromachie, mais il est le seul à avoir connu la gloire.

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Eglise Notre Dame de la Miséricorde 1585

L'Iglesia de Nuestra Señora de la Merced est une des églises les plus curieuse de Ronda, et est également un couvent pour les religieuses et les prêtres des Carmes Déchaux de Ronda.

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Dans le jardin Segrada ,  superbes vues sur la sierra

environnante.

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Le pont Nuevo

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Bâti en 1735, il est le symbole de la ville de Ronda et joint ses deux quartiers les plus importants. Après avoir essayé de construire un pont dans la zone la plus profonde de la brèche sur la rivière Guadalevin au XVIème siècle, un pont fut construit en 1735 qui s'effondra six ans plus tard.

Le pont actuel date de 1793 et fut bâti par José Martin de Aldehuela.

Il comprend trois corps qui forment une grande cale.

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Cette chambre située au milieu du pont servait de prison.

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Vue très impressionnante de la gorge du Tajo

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On continue notre promenade dans ces rues, où il fait bon se perdre

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Une de ces portes sculptées que l'on trouve sur de nombreux bâtiments.

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Eglise sainte Maria  la Mayor

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Elle a été bâtie en deux phases, elle possède une partie

gothique initiée par Ferdinand le catholique et une

autre commencée après le tremblement de terre

de 1580, dont sa construction s'étend jusqu'au 18 ème siècle.

Elle présente des styles divers qui vont du renaissance au baroque.

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Les balcons à l'avant de Santa María la Mayor ont été ajoutés plus tard pendant le règne de Felipe II pour la noblesse et la bourgeoisie de la ville pour regarder les tournois de la Maestranza, les corridas et autres événements se tiendront sur la place, mais ces jours-ci la place a été transformée en un joli parc nommé en l'honneur de la duchesse de Parcent.  

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Un des heurtoirs des portes de l'eglise.

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Petite venelle longeant l'église.

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Couvent des Clarisses

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Nous reprenons la route vers Marbella. Un peu trop court la visite

de cette ville, où il faudrait rester plusieurs jours pour vraiment la découvrir,

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Une route où les virages se succèdent pendant 50 km.

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Ville placée au patrimoine mondial de l'UNESCO

depuis 1984.

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Historique: 4 époques importantes pour cette ville

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l'époque romaine.

Cordoue est un ancien peuplement ibérique et est occupé par Claudius Marcellus,

  un Romain, en 169 avant l’ère chrétienne.

 On retrouve encore des vestiges datant de cette époque.

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L'époque Wisigothe.

Lors de l'effondrement de l'empire romain au V ème siècle, la ville passe sous la domination des vandales puis des wisigoths jusqu'en 711, à l'exception d'un bref intermède Bysantin entre 544 et 571

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L'époque musulmane

Les maures conquièrent la ville en 711.

En 756, elle devient l'émirat de Cordoue.

785 à 987 Construction de la grande mosquée.

En 929 sous l'omeyyade "Abd al-Rahman III", elle devient le califat de Cordoue.

Sous le règne de Abd al Rahman III et de son fils "Al-Hakam et Al-Mansur ibn Aamir,

c'est à dire de 912 à 1002 constitue l'époque la plus glorieuse.

Cette cité comprend alors, 250000 âmes, plus de mille mosquées et six cents bains public.

Durant les années 1220 et 1230, le califat s'effondre et se divise en un dizaine de petits états,

les taifas. Leur rivalité les rendra vulnérable.

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L'époque Chrétienne

La ville restera musulmane jusqu'en 1236, date dela prise de la ville par

Ferdinand III de Castille

  Les musulmans sont tolérés, mais la grande mosquée est aussitôt convertie en église.

En 1808, au cours des guerres napoléonniennes , Cordoue est mise à sac par les troupes françaises.

 

Aujourd'hui.

Cordoue est une ville de 321000 habitants et une grande cité touristique.

Par mes quelques images je vais essayé de vous la faire découvrir, mais,

il faudrait beaucoup plus de temps pour vraiment en faire le tour.

 

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Voici le premier habitant que je rencontre un héron garde boeufs,

posé sur le mur du jardin de l'Alcazar,

il me montre le chemin à suivre.

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Première photo, le minaret de la Mezquita.

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Premiere visite,

l'Alcazar des rois chrétiens

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L'Alcázar prend son nom du mot arabe Alqasr "القصر" ou le Palais.   La forteresse a été une des résidences principales de Isabelle de Castille et Ferdinand II d'Aragon.

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  A l'entrée trône la statue du roi Ferdinand II (1452-1516)

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La première chose que l'on remarque en entrant dans l'alcazar

c'est le jardin Maure avec ses bassins et ces arbres taillés

comme de gros cigares.

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Au centre du jardin, ces trois statues représentent

Isabelle et Ferdinand II, les Rois Catholiques,

lors d'une audience où ils reçurent Christophe Colomb, 

alors qu’il préparait son projet de nouvelle route vers les Indes.

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Entre les arbres des immenses statues de seigneurs veillent

sur l'Alcazar.

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L'Alcazar

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L'Alcazar de Cordoue, dont on a  fait depuis un palais de l'Inquisition, puis un haras royal et une prison, fut construit en 786 par Abdérame 1er. Il offre l'aspect d'une vieille forteresse. Les créneaux qui le surmontent ne forment aucune saillie sur le profil du mur, mais sont rangés comme les dents d'une scie.  Des jours, pratiqués de haut en bas dans la partie de ces créneaux qui est en saillie, permettaient aux assiégés de voir le pied du mur sans se découvrir, et de faire pleuvoir par là les projectiles sur les ennemis. Cet Alcazar, jadis palais des rois, est situé sur un roc escarpé. Il passe pour avoir été fondé par les Wisigoths et embelli par les Arabes.

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La tour des Lions

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Il est temps de renter s'abriter, car la pluie menace.

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Passage par le patio " cour des Morisque"

Morisques:musulmans d'espagne convertis de gré ou de force au Catholicisme à la suite des édits de conversion de 1502. Ils constituaient une minorité importante dans le royaume de Valence, la vallée de l'Ebre et l'Andalousie orientale.

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L'intérieur du château, quelques statues et très peu de mobilier.

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Vue sur la ville du haut de la tour des lions.

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Le pont romain et le moulin arabe.

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Les patios.

Ils sont ouverts au public une semaine par an

pour un concours de fleurissement, une chance pour nous

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Faire des photos avec la foule  n'est pas une mince affaire,

il faut souvent attendre qu'une tête, un bras ou un corps disparaissent

pour pouvoir déclencher rapidement.

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Les fleurs sont essentiellemnt des géraniums

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Nous sommes dans le quartier de la judéria.

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Sobre, mais beau

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Dans un hôtel

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Continuons notre visite dans cette belle ville.

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Le trionfo de San Rafael

Est une caractéristique du type de monument datant du XVIIème siècle, La plus haute expression de la dévotion populaire à la Archange Raphaël Dépositaire de la ville.

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La grande mosquée cathédral.

Troisième   du monde islamique au moyen âge par sa taille.

Il s'agit là, de l'art hispano-musulman le plus important 

dans le domaine spirituel.

Sa construction date des tous premiers temps de la conquête arabe.

Elle s'effectua en quatre étapes.

Commencée en 785 elle s'étala sur un peu moins de 200 ans, au fil des

besoins d'agrandissement imposés par la croissance démographique de la ville.

  Minaret de la Masquita.

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Une des nombreuses portes.

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Patio des ablutions

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Gros plan sur un des heurtoirs de porte

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Nous n'avons pas visité la mosquée-Cathédrale par manque de temps,

mais il y a encore tellement de choses à voir, qu'il faudra revenir.

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Retour dans les rues

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Le pont romain qui enjambe le Guadalquivir.

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Le pont romain date du 1er siècle après Jésus Christ.

Il relie les quartiers de la Verdad à celui de la Cathédrale.

Long de 300 mètres encviron, il est composé de 16 arches.

Il fut pendant longtemps l'unique accès à la ville.

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Vue sur la ville, du pont Miraflores.

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Rencontre avec un cheval Andalou.

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La place de la Corredera

Une grande place rectangulaire

Jusqu'au XV° siècle, cette place était un des grands lieux de rendez-vous de la ville. Ensuite elle est utilisée pour l'organisation de joutes hippiques et de corridas, d'où son nom. Aujourd'hui elle sert surtout aux grandes manifestations municipales.

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J'aime les vieilles portes et je fais sovent des gros

plans sur les serrures heurtoir et autres.

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Il est grand temps de prendre le chemin du retour.

Quelques images de paysages, prises de la voiture.

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Entre Cordoue et Malaga c'est sur plus de 100 km

que les oliveraies bordent la route et aussi à perte de vue.

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J'espère que vous avez été conquis par cette belle ville.

N'hésitez pas à me laisser vos impressions et critiques.

 

 

 

Ces images ne sont pas libre de droit

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Un de ces fameux villages blancs de l'Andalousie, situé au pied de la sierra du même nom,

c'est un balcon sur la méditerranée.

Une superbe promenade dans les rues pentues aux maisons blanchies à la chaux et abondamment fleuries, aux balcons en fer forgé, calme et quiétude règne dans ce beau village Andalou.

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Rues étroites et pentues.

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Mon petit plaisir,  les heurtoirs.

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Rambades en fer forgé.

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petites venelles très attachantes.

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En vous promenant sur "la murella" vous apprécierez, les différents paysages

qui s'offrent à vous.

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Au loin,  la Méditerranée.

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J'ai énormément aimé les villages blancs, mais, le seul problème,

Ce sont les  intallations électriques qui les défigurent par leurs câbles

mis en évidence aussi bien sur les murs des maisons, qu'en traversant

les rues de véritables  toiles d'araignées.

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