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Sainte Thérès de L'Enfant-Jésus

Née le 2 janvier 1873, à Alençon, d'une famille aisée, profondément chrétienne, Thérèse Martin 

enfant fait preuve d'une volonté et d'une intelligebce précoce. A la mort de la mère de famille, Monsieur Martin s'installe à Lisieux,

aux "Buissonnets". Thérèse y grandit entourée de tendresse et de piété et, lorsque sa soeur Pauline entre au Carmel,

elle sent déjà à 9 ans, s'affirmer sa vocation religieuse.

le dimanche de la pentecôte 1887, son père l'autorise à entrer au Carmel, mlais son jeune âge semble

aux autorités écclésiastique un obstacle insurmontable.

Participant au pélerinage diocésian à Rome, l'enfant décide d'adresser sa requête au Saint-Père.

L'autorisation arrive au Carmel le 28 décembre 1887, et le 9 avril 1888 à l'âge de 15 ans et 3 mois,

Thérèse quitte "Les Buissonnets" pour toujours.

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Soeur Thérèse de l'Enfant-Jésus gravit les rudes degrés de la perfection. Cette enfant gaie et simple, cache une énergie farouche

que les premieres atteintes de la maladie durcissent encore.

Sur ordre de sa nouvelle prieuré, elle rédige le manuscrit de sa vie "Histoire d'une âme".

Elle remet les derniers feuillets peu de temps avant d'entrer à l'infirmerie du Carmel,

où elle y meurt le 30 septembre 1897 à l'âge de 24 ans et 9 mois.

 

Béatifiée en 1923, soeur Thérèse de l'Enfant-Jésus fut canonisé le 17 mai 1925.

 

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Le 30 septembre 1929, la première de l'édifice est posée.

Consacrée le 11 juillet 1954

Cette imposante basilique d'une superficie de 4500 m2 et d'un dôme haut de 93 mètres

est l'une des plus grandes églises construites au XXème siècle.

 

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3000 pélerins peuvent prendre place sur les bancs de la basilique

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Les mosaïques et les vitraux ont été réalisés dans les ateliers de Pierre gaudin (1908-1973).

Un artiste formé dans les ateliers d'art sacré dirigés par Maurice Denis et Georges Desvallières. Les vitraux qui ont été réalisés dans les ateliers de Pierre Gaudin (1908-1973), un artiste formé dans les ateliers d’art sacré dirigés par Maurice Denis et Georges Desvallières. 

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La crypte à trois nefs est entièrement ornée de mosaïque

(scènes de la vie de Sainte Thérèse)

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Village classé comme un des plus beaux villages de France

 

Ce ravissant petit village de 300 âmes a su garder beaucoup de charme

avec ses halles et ses jolis maisons à pans de bois.

 

 

 

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Place centrale et halle.

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Détails

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Le manoir

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Détails sujet sculptés du manoir.

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La coiffure en se désaltérant.

 

 

 

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Ville du Calvados.

Honfleur est situé à l'estuaire de la seine, au pied de la côte de grâce.

Cette petite ville au passé maritime offre une grande séduction avec son vieux bassin,

ses vieilles rues et ses églises .

Ancienne place forte importante au XVème siècle.

Cette ville a acquis sa vrai gloire en participant aux expéditions maritime.

En 1503  A bord de l' "Espoir" Paulmier de Gonneville, aborde le Brésil.

En 1506 Jean Denis explore l'embouchure du Saint-Laurent préparant la voie au malouin Jacques Cartier.

 

 

Le vieux bassin

 

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Reflets

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Rue de la prison, une des plus vieilles rue de Honfleur

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 Eglise Saint Léonard

La majeure partie du bâtiment a été construit aux XVII et XVIII siècles

 

Son portail principal, une belle illustration du style gothique flamboyant

 

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C'est le troisème orgue construit par Charles Mutin

Relevé en  1981 par Jean François Dupont,

cet orgue a été complètement restauré à l'identique en 1993 par Nicolas Toussaint de Nantes.

 

 

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Elle est situé dans le quartier

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Eglise Sainte Catherine.

Elle remplace une église construite en pierre détruite pendant la guerre de cent ans.

C'est la plus grande église de France construite en bois par des charpentiers de marine.

L'édifice est classé au titre des monuments historique en 1870

 

 

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Le lutrin en forme d'aigle date du XVème siècle, il est en bronze.

 

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Orgue classique provenant de la paroisse Saint Vincent de Rouen.

 

 

 

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Le clocher est isolé, situé à bonne distance de la nef, il est carré en charpente, surmonté d'une pyramide octogonale, il s'appuie

sur un soubassement en pierre.

Les béquilles du clocher placées en 1718 soutiennent l'édifice.

 

 

 

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Le phare de l'hôpital

Construit en pierre de Caen, il fut achevé et allumé le 1er juin 1857.

Il n'était pas destiné à signaler l'entrée du port de Honfleur, mais donnait 

aux bateaux, en alignement avec le phare de fadouville, une route qui passait au nord

du banc dangereux du ratier, situé au milieu de l'estuaire de la seine.

Il fut éteint en août 1908.

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La chapelle de l'hôpital.

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Sortons un peu de la ville et prenons de la Hauteur.

Vers la côte de Grâce.

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Chapelle Notre Dame de Grâce.

Du XVII ème siècle

Ce gracieux édificea remplacé un sanctuaire fondé , dit-on, par Richard II, 4ème duc de normandie.

La chapelle du transept, à gauche, est dédié à tous les canadiens d'origine normande, en souvenir du départ pour la canada de nombre de colons parti de ce point de côte.

 

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