Ceci n'est qu'une approche du fonctionnement de ce moulin,

si vous avez d'autres informations, n'hésitez pas à me les faire parvenir.

Moulin du Coumou

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Le moulin du Coumou, se trouve à 3 km du village de Plouvien (finistère).

Origine du nom  qui proviendrait du Breton "milin Komm" (moulin à foulon)

Le bulletin de la société archéologique du Finistère de 1888, mentionne

qu'on y foulait le drap au XVIIe siècle.

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Le moulin à Foulon

Dans un moulin à foulon on  battait ou foulait les draps,

ou la laine tissée dans de l'argile smectique pour les assouplir et les dégraisser.

 

L'aber benoît (origine du nom proviendrait d'une mauvaise traduction "aber béniguet"

 signifiant en fait "aber béni" alimente le moulin.

Il n'y a pas de roue à aubes, mais à l'origine il y avait 3 krufels qui faisait

tourner 3 meules. les krufels sont des roues horizontales.

 

 

 

On retrouve encore ce système sur l'ancien moulin dont il reste une meule

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Trémie à grain

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La minoterie date de 1952

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Salle du mouvement (au sous sol)

Entrainement par une turbine et courroies

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Salle de mouture (Rez de chaussée)

Le sasseur, cet appareil servait à séparer les particules de son de la semoule

(Un rotor muni de brosse tourne dans une garniture tronc conique en grillage, le tout fortement aspiré par le ventilateur.

Le blé en traversant cette machine a son sillon débarrassé de la terre emmagasinée lors de la récolte.)

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Broyeurs à cylindre

Ces derniers ont été inventés en Hongrie vers 1830,

mais ne vont se répandre en Europe qu'entre 1875 et 1900. 

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Salle de distribution par gravité (1er étage)

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Salle de blutage ( 2ème étage)

 Planchister

(Plansichter vient des deux mots allemands plan, qui veut dire plan, et sichter,

qui veut dire blutoir ou tamis, ce qui sert à traduire par "tamisage plan)

Cette machine permet par blutage la séparation des différents finots, semoule et farine.

Il se compose de plusieurs caisses (de 2 à 8 caisses) elle même composées de plusieurs porte-tamis, chaque porte-tamis peux recevoir un tamis d'une ouverture de maille déterminé pour pouvoir tamiser les différents produit de mouture et ainsi faire le classement des semoules, finots et farine.

Les caisses sont fixées à un chassis suspendus au plafond par des "roseaux" en bois ou en fibre de verre. Un moteur à excentrique sert à donner à la totalité des caisses un mouvement rotatif plan.

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