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Haut lieu de Spiritualité & d'Histoire.

Rocamadour doit sa notoriété à son pélerinage.

La présence humaine dans ce lieu remonte au paléolithique supérieur (débute sur tous les continents, hormis l'amérique , aux alentours de - 40000 et perdure jusque vers -12500).

Ce site est  dédié au culte marial dès son origine, un modeste oratoire est édifié, très certainement par les premiers hermites

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La grande rue centrale

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Le château

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Classé parmi les plus beaux villages de France.

La Dordogne à ses pieds.

Nombreuses maisons du XVème et XVIème siècle

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Tour d'escalier du XVI ème siècle

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L'église Saint Pierre ( fin XIème - milieu XIIème siècle)

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Superbe porche, orné d'un magnifique tympan reposant sur  quatre colonnes

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 Il offre au regard une vision symbolique de la fin des temps.

Le Christ est assis sur un trône et bénissant

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Sur les rives de la Dordogne.

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Château élévé dès le XIII ème siècle par les barons de Castelnau-Bretenoux, établis de longue date en

Haut-Quercy. Ce château ne fut jamais pris. Il connut la gloire et la splendeur des grandes demeures seigneuriales.

En 1851, un incendie détruisit  partiellement les logis..

Son acquisition en 1896, par:

 

 

Jean Mouliérat (1835-1932)

A débuté sa vie comme berger, à 20 ans il s'engage dans l'armée.

Incorporé dans le 18ème régiment de chasseurs à pied du fort de Rosny.

Il est remarqué par le général Gaucher le 14 juillet 1875, lorsqu'il entonne la chanson patriotique "Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine" 

Ce jeune homme à la voix d'or fait ensuite ses classes au Conservatoire national de musique et de déclamation de Paris, sous l'aile protectrice du professeur Grosset.

Jean Mouliérat redonnera au château de Castenau ruiné, une partie de son lustre passé.

Il est un collectionneur qui rassemble nombre de meubles et objets religieux.

A sa mort, il lègue son bien à l'état.

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Bâtiment de gauche.

La tour résidence.

Exceptionnel  logis seigneurial en pierre férégineuse qui lui donne cette couleur rouge,

est la première construction connue sur le site.

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Balcon d'honneur.

Ou aboutissait une grande galerie d'apparat.

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Avec une très belle vue sur la vallée

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Portique à arcades ouvrant sur la cour intérieure,

Abrite une collection lapidaire de Jean  Mouliérat.

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Les appartements.

Meublé par Jean Mouliérat.

 

 

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La Chapelle castrale XIVème siècle.

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Croisée d'ogives, clé de voûte aux armes  des Castelnau

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Une collection de sculptures  est présentée dans l'aile est du château.

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Une belle visite avec un guide très intéressant.

 

 

 

 

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Cette petite cité médiévale posée sur une falaise domine un méandre du lot.

A l'intérieur de la ville, ruelles moyenâgeuses bordées de maisons à encorbellement,

fenêtres à meneaux et portes ogivales.

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Le Donjon

Cette tour carrée fut probablement érigée au XIIIè siècle.

Il avait un but essentiellemnt militaire et logeait une garnison.

Elle était le centre du système de défense de la cité et de ses environs.

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Une des nombreuses portes ogivales.

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L'église Saint Jean Baptiste XVIIIe siècle.

En 1772 il fut décidé de construire un nouveau sanctuaire sur les

ruines de l'ancien.

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Autel et son retable renaissance dont le tableau date du XVIIIe siècle.

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Les orgues.

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 Chapelle de Saint Géraud

Statue du saint tenant dans ses bras la ville de Capdenac

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Une lumière divine, vient baigner ce prie dieu.

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Place Saint Andrieu.

Cette place porte le nom d'une ancienne église située à cet emplacement.

Elle fut détruite pendant les guerres de religion.

Superbe vue panoramique sur la ville de Figeac.

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Cette jolie ville est établie dans la vallée du Célé.

Elle est entourée par une diversité de terroirs qui a permis la variété des ces productions agrivoles

et lui a toujours conféré un rôle central de ville de marchés et de foires.

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Place Champollion.

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Maison Pierre Cisteron

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Marché très animé.

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Place des écritures.

Son sol est couvert d'une immense reproduction de la Pierre de Rosette, sculptée

dans du granite noir par l'artiste américain Joseph Kosuth.

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De très belles maisons médiévales enserrent cette place.

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Se perdre dans ces rues, un véritable bonheur.

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De nombreuses portes de très belles factures.

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Des passages superbes.

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Vue sur la vieille ville

de l'église Notre Dame du puy

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Abbatiale Saint Sauveur. fin XIè - XIV siècle

Elle fut à l'origine de la naissance de la ville.

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Salle capitulaire XIIIe siècle

Chapelle Notre-Dame de pitié.

Appelée aussi Notre-Dame de Pitié.Quatre courtes colonnes ruyhment les neuf travées

de cette très belle salle.

Après avoir été pendant des siècles le lieu de réunion des moines,

elle devint au XVIIIè siècle un lieu de culte.

  

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En 1673, on confie au maitre sculpteur figeaçois Isaac Delclaud

de faire un retable à trois panneaux sur le thème de la passion.

De chaque cotéde la vierge de pitié qui a donné son nom à la chapelle.

Deux grans panneaux peints et dorés représentant la descente de la croix

et la mise au tombeau.

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La cène est aussi représentée

l'agneau immolé est au centre de la composition.

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Cène ici représentée ; dans celle-ci, l’agneau immolé est au centre de la composition rappelant ainsi la Passion évoquée sur les murs.

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Sur les murs, dix panneaux retracent les derniers ùoùents de la vie du Christ

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Clés de voûte.

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